LES LOIS UNIVERSELLES

Cette page est l'expression d'une entité composée de trois pensées. Certaines parties des écrits qui suivent ne sont pas forcément partagées par les trois personnes, mais leur expression est liée à leurs discussions donc font partie de cette entité qui a ses propres lois et sa propre vie. L'entité est composée de : Clément Soullard, Florian Minici, Pierre Andre.



L'observation, l'expérimentation et l'induction

L'observation
Les six sens.
Mécanisme de la sensation.
Quoique la sensation soit un phénomène essentiellement psychologique, puisque nous en avons conscience, elle n'a lieu cependant qu'à certaines conditions physiques et physiologiques, qui peuvent se ramener à trois principales :
1° Les objets extérieurs agissent soit immédiatement (tact, goût), soit par l'intermédiaire d'un milieu (odorat, ouie, vue, pensée) sur les organes des sens. Absence d'organe, absence de sensation.
2° L'action exercée sur les extrémités des nerfs qui aboutissent aux organes se transmet dans tout le parcours des nerfs qui font communiquer les organes avec le cerveau. En effet, toute lésion des nerfs interrompt ou altère la sensation.
3° L'action se communique aux centres, soit à l'encéphale, soit à la moelle, qui la transmet elle-même à l'encéphale. En effet les lésions des centres peuvent empêcher la sensation, malgré l'état sain des nerfs ou des organes. Telles sont les conditions communes à toutes les sensations : nous n'indiquerons pas le mécanisme particulier qui leur appartient ceci étant d'un autre domaine de spécialiste en physiologie.
a : Définitions :
1° : idée ; 2° : pensée ; 3° : Lois universelles applicables sur la pensée accélérée et la matière.
1° : idée :
L'idée est une sorte de matériel qui est le support d'assertions, car une idée en soit, n'a pas à se justifier par la pensée. Si j'ai une idée du genre : les animaux sont de la couleur de ce qu'ils mangent, c'est une idée, elle peut être vraie, comme elle peut être fausse, à ce stade, ce n'est pas ce qui nous intéresse, la seule chose que je sais c'est qu'elle existe et j'allais dire qu'elle s'énonce clairement, Pourtant, comme nous sommes des humains, nous avons tendance à dire que si on a une idée il faut pouvoir l'exprimer. Pourtant, les animaux aussi ont des idées, par exemple un chien qui cherche à s'échapper du jardin pour aller voir la chienne voisine je vous garantis qu'il a des idées ! Pour rester général il vaut donc mieux dire que l'idée doit avoir cette propriété d'être mémorisable. Toute idée qui n'est pas mémorisable n'en est pas une.
2° : La pensée :
La pensée selon sa qualité est un système qui permettra de dire si j'ai cette idée et si cette idée est vraie alors les vaches devraient être vertes parce qu'elles mangent de l'herbe. Alors mon idée est probablement fausse...
Sous les aspects de la mémoire, je dirai dans l'absolu que la pensée n'a pas de mémoire. Quand une idée est fausse, elle est moins utile (elle fait faire des erreurs, aussi peut-être sort-elle de la mémoire).
La mémoire c'est un stock d'idées qui peuvent avoir été élaborées ou pas par la pensée.
La pensée d’autrui est une idée.
Les jeu de mots pensée, idée :
En écrivant ceci, il me vient une réflexion en comparant les deux expressions "avoir une pensée" et "avoir une idée". Quand on dit que quelqu'un a eu une idée il n'a pas forcément réfléchi.
Quand quelqu'un a une pensée c'est un raccourci pour dire, il a réfléchi et puis il a eu une idée. En raccourci je définirai
- La pensée comme un système d'interférences entre les idées (nouvelles ou se trouvant dans la mémoire)
L'idée comme un matériel brut, imprévisible mais qui peut se confronter en interférence avec d'autres idées pour déduire si elle est cohérente ou pas.
3° : Lois universelles applicables sur la pensée accélérée et la matière.
3a : La matière attire la matière ( effet venturie ), la pensée attire les idées.
3b : Un phénomène crée un autre phénomène qui va entretenir et accélérer le premier phénomène. Système décrit sur un mémoire sur un canal d’eau de 1993. La pensée attire ou crée des idées qui vont l’entretenir et l’accélérer.
3c : Pendant l’étude des interférences avec photons, ou autres particules comme on le sait depuis un an, quel que soit le parcours effectué les particules arrivent au même endroit. L’application de la loi à la pensée donne : quelles que soient les idées ou le cheminement de la pensée, de nombreux philosophes sont arrivés sur certains points au même résultat qui représente une pensée universelle.
3d : Chaque pensée a un début d’accélération et une fin, ou équilibre, et elle ne peut être analysée que par rapport à elle même.
3e : L’association de plusieurs pensées crée une entité qui va avoir ses propres lois et sa propre existence, de même l’association de plusieurs particules va former un ensemble qui va avoir sa propre existence et ses propres lois. En exemple le regroupement de cellules végétales ou animales.
b : Le goût, les sensations sont douces (le sucre, le lait), amère (la quinine, la gentiane), acides (le vinaigre), ardentes (les liqueurs fortes), etc. ; mais ces distinctions sont très insuffisantes pour exprimer le nombre considérable de saveurs que peuvent produire les différents aliments ou boissons.
c : L'ouie, On peut distinguer dans le son différents points de vue :
1° la qualité ; 2° l'intensité ; 3° le volume ; 4° la tonalité ; 5° le timbre.
d : La vue, la vue en noir et blanc, la vue en couleur, après une forte excitation lumineuse on ne voie plus qu'en noir et blanc.
e : Le tact, le toucher peut être doux, chaud, soyeux…
f : L'odorat, les arômes sont multiples comme pour le goût.
g : La pensée.
Ceci étant la proposition effectuée, je suis passé rapidement sur les cinq premiers sens, pour mieux me consacrer à la proposition. Comme il est dit dès le début l'aspect physiologique est un autre sujet et je rajoute que ce texte ne cherche pas à savoir qui ou ce qui active ce sens.
g1 : On peut distinguer dans la pensée différent points de vue : 1° la qualité, 2° l'intensité, 3° la quantité.
g2 : Il est possible d'augmenter les possibilités de ce sens à l'aide d'outils appelés idées.
g3 : La pensée étant un sens, est en permanence en éveil, ce qui explique les rêves.
g1-1 : Je pense qu'il existe trois qualités. La première est sans réflexion ordre 1, en exemple un être conditionné. La deuxième est basée sur la comparaison ordre 2, en exemple un animal qui compare deux trajets pour savoir lequel il va emprunter. La troisième est caractéristique de l'homme et fait intervenir le plus haut niveau de réflexion, en exemple la création des textes des Droits de l'Homme de 1789 troisième ordre.
g1-1-1 : Une pensée répétitive saturante est d’ordre 1.
g1-1-2 : Les pensées liées aux autres sens sont des pensées d'ordre deux.
g1-1-3 : Détail sur l'origine d'une pensée accélérée. L'origine d'une pensée obéit à la loi de l'origine que j'ai décrit sur mon mémoire de 1993 pour un phénomène physique : une pensée apparaît provocant une nouvelle pensée qui entretient et amplifie la première pensée.
g1-2 : Il existe plusieurs niveaux d'intensité, les pensées les plus intenses entraînent un autre mécanisme du cerveau qui a ses propres lois : la mémoire.
g1-3 : Il arrive que les pensées nous submergent et créent ce que nous appelons des émotions. Il n'est pas rare que les personnes confondent l'intensité avec la quantité, bien que ces deux qualités soient totalement différentes.
g2-1 : l'usage des idées, les principales règles sont celles-ci :
g2-1-1° l'observateur doit connaître ses idées, par exemple, savoir exactement quel est la qualité qui l'influence ( g1-1 )
g2-1-2° il doit chercher à se les rendre le plus commodes en se les appropriant par quelques corrections à l'usage auquel il les destine ;
g2-1-3° il doit les vérifier ; et il doit connaître enfin et apprécier les erreurs dont elles sont susceptibles.
g2-2-1 : Il existe des idées qui rapprochent la pensée éloignée.
g2-2-2 : Il existe des idées qui agrandissent les pensées.
g2-2-3 : Il existe des idées qui permettent de déclencher la mémoire pour mémoriser la pensée.
g2-2-4 : Il existe des idées qui permettent de ce concentrer sur une pensée.

l'expérimentation

a : On remarque à l'utilisation que les pensées accélérées vont avoir plusieurs caractères dont les principaux sont : les pensées spécifiques :
a 1-1 : la pensée éclatante, c'est une pensée évidente par exemple je pense donc je suis ;
a 1-2 : la pensée clandestine, c'est une pensée qui est diffuse mais qui permet la cohérence sans apparaître vraiment ;
a 1-3 la pensée repère ou collective, c'est une pensée dans laquelle ont retrouve d'une manière claire des lois qui régissent plusieurs autres pensées.
a 1-4 : la pensée cruciale, c'est l'une des plus importantes car elle est à la croisée des logiques, sachant que lorsqu'on entame une logique il est très difficile voire impossible d'utiliser une autre logique.
a 1-5 : la pensée fugitive, c'est une pensée qui varie selon l'état, elle est intéressante car elle nous indique l'état dans lequel nous sommes ;
a 1-6 : la pensée limitrophe, c'est la pensée charnière entre deux pensées.
a 1-7 : la pensée solitaire, comme son nom l'indique elle s'auto suffit et est indépendante.
b : On remarque encore à l'utilisation que pour qu'un dialogue puisse être établi, il faut utiliser deux pensées de qualité identique. En exemple il est inutile d'utiliser les arguments d'une pensée du troisième ordre à une pensée d'ordre 1, ou encore de raisonner un être pleinement conditionné.
c : De l'expérience on remarque encore que les pensées étant bornées dans leur usage, l'âme (ou ce que vous voudrez) a trouvé le moyen de les prolonger ou de les compléter par le moyen des idées.
Par la pensée accélérée, on tient note des idées les plus rapides et les plus délicates. Ainsi les pensées sont centuplées par la réflexion, et peuvent arriver à la dernière précision ; de plus, chacun peut se créer à lui-même des idées nouvelles pour l'ordre particulier des pensées qu'il se propose.

l'induction du texte précédent.

a°: chaque animal pouvant dépasser le stade d'un raisonnement comparatif est un être humain. En d'autres mots la caractéristique de l'homme est l'utilisation d'une pensée de qualité accélérée.

Autres inductions et expérimentations personnelles

1° : Il est impossible de lire la pensée accélérée d'une autre personne, donc chaque homme possède sa propre pensée qui lui est inaliénable. De fait, on peut dire que chaque personne est unique et possède ses propres pensées et dès qu'elle en prend conscience et qu'elle se protège, elle devient maître de ses pensées. La richesse des idées fait que chaque personne est une entité qui a le degré de liberté qu'elle s'accorde. Je pense que cette prise de conscience ne peut avoir lieu que dans l'application d'une pensée accélérée.
2°: chaque science possède ses propres lois. Donc chaque système, chaque homme, chaque évènement, chaque pensée possède son propre temps qui n'est analysable que par rapport à lui-même.
3° : (l'amour) paternel ou habitude conditionnée est un caractère que l'on trouve sur plusieurs espèces animales.
4° : la recherche de compagnie ou d'une présence est un caractère animal.
5° : chaque évènement doit être analysé par rapport à son origine et sa fin ou équilibre.
6° : chaque événement à sa propre base de temps, ceci est un axiome du 1
7° : le bonheur ou la pensée ne doit pas être dicté par qui que se soit sous peine de perdre votre caractère essentiel d'être pensant.
8 : Il existe plusieurs niveaux de logique qui utilisent le même outil, mais qui ne sont pas compatibles. Le premier niveau étant basique au sens péjoratif, je le définis comme reptilien, ou conditionné. Le deuxième niveau a aspect de compromis et d'échanges, sa voûte est le système comparatif. En troisième c'est la logique qui utilise la méthode expérimentale à l'aide de la pensée accélérée.
9 : Je pense que l'entretien du corps est indispensable mais ce n'est pas un but dans la vie ; je pense que comparer et échanger les richesses que l'on crée est indispensable, mais ce n'est pas un but dans la vie; je pense qu'utiliser une pensée accélérée nous permet d'avoir l'attention sur ce qui est, et avec réflexion, concevoir, juger et raisonner. Dans cette logique on observe ce qui est et ce qui apparaît, il n'y a pas de comparaison. Une des lois de cette logique est d'observer les objets, et les choses qui les concernent, ce qui implique qu'à aucun moment on ne peut y intégrer une logique comparative, sous peine d'incohérence.
10 : Le terme pensée comme je l'ai présenté dans le texte a un sens qui peut se développer de trois manières différentes, et en particulier la troisième étant l'accélérée peut encore se développer de trois manières à savoir : concevoir; juger, et raisonner.
Maintenant à la réponse pourquoi ceci s'est produit chez ces personnes et pas chez tous le monde, je pense qu'il y a plusieurs réponses possibles, dont une directement induite par la réponse de Clément. Quant à l'intensité seule l'observation de tout ce qui rentre en jeu pour chacun, nous permettra d'identifier les lois.
11 : Nous pouvons rajouter que l'on n'a pas n'importe quelle idée à n'importe quel moment (donc attraction sur un faisceau susceptible d'idées), pourtant elles sont imprévisibles (chaotiques). On peut donc dire d'une idée qu'elle naît d'un environnement et en même temps qu'elle a cette propriété d'être imprévisible. En remarque , ceci rejoint encore une loi de la matière qui est la matière attire la matière, en exemple un courant d’air attire l’air qui est autour (on le remarque quand une porte se ferme) et cet air attiré amplifie le volume d’air du courant d’air donc amplifie et accélère le courant d’air. Mais on remarquera comme pour les idées, il faut qu’il y aie quelque chose à attirer. D'ailleurs (sans notion, pas d'inspiration) donc il faut bien qu'il y aie quelque chose qui excite la pensée, cette pensée est là, même étant très faible, peu ou pas perceptible, et en reprenant une des lois universelles sur les pensées, celles-ci sont accélérées et amplifiées par les idées.

Proposition d'un sens d'apparition dans la qualité de la pensée. Exemple :
Suite à des travaux, un virage se présente dangereux durant la balade en vélo. Le fun pousse à l'ignorer mais l'instinct veut protéger le corps, ce qui est une pensée d'ordre un, c'est alors que nous comparons quelle est la meilleur trajectoire et quelle est la meilleure vitesse d'approche, ce qui est une pensée d'ordre deux, l'analyse des informations (idées) transmisent par les sens (vue,... pensées d'ordre 1 et 2 inclues) donne une pensée d'ordre 3. Donsc nous dire qu'il existe un ordre dans les pensées, même si celles-ci sont des sens.


Ouverture métaphysique :
" je rajoute que ce texte ne cherche pas à savoir qui ou ce qui active ce
sens."
Fl >- pourquoi donc ? N'est-ce pas faire preuve de faiblesse devant un problème des plus
importants. Moi, je dirai tout bonnement que c'est l'imagination !!
Les idées ne viennent-elles pas de l'imagination, première faculté du rêve
?
La pensée est sollicitée par l'intérieur à l'aide d'une fonction réversible,
que j'appellerai imagination. Pourquoi réversible ?
Par ce qu'elle fait appelle à fonction naturelle innée et d'autre part à une
fonction volontariste.
1° La fonction innée, le rêve, applique une méthode depuis des millénaires, toujours identique. Cette méthode de rangement nous révèle, pendant le sommeil, son trajet en nous faisant vivre lors de ses accès à des sources de rangement les plus inattendues.
2° La fonction volontariste réflexion est la méthode inverse du rangement, c'est le tri, ou
comparaison entre ce qui est rangé et ce que nous voulons éveiller, la jonction des deux
notion comparée fait jaillir l'idée.
3° Réussite du support :
Ici nous ferons appelle aux notions de qualité, l'intensité, quantité, vont dépendre :
a) Si le support est très bien organisé , un réseau en parfait état, des voies directes, le moins inextricable possible, un pourcentage de coupures neuroniques très faible, les informations iront très vite avec un trajet de rangement et de tri aussi bien fait.
b) Le support n'est pas formé avant la naissance, et la vie du nourrisson est très importante sur la façon d'organiser sa grande librairie. Avec des
répertoires et sous répertoires, des sauts sous conditions, bref un réseau à connexions très bien réussi, un parcourt limpide, pas d'enchevêtrement pour
ranger ou trier les notions.
Sa réussite viendra surtout du milieu de foutrerie, d'amour et d'ordre de ses nourriciers, admirateurs ou pas, de son environnement en général,
pendant la formation du cerveau.
Voilà les trois notions qui sont omniprésentes à toutes pensée et à l'homme en
général :.
Inné, éducation, culture.
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