PHILOSOPHIE

De l'analyse et des objectifs des sciences, nous nous apercevons que les sciences physiques sont limités aux " comment " et de ce fait se trouvent aliénées à la philosophie qui va leur indiquer le pourquoi.
Si nous voulons éviter que le contenant de fait, soit associé au contenue, en d'autres termes appliquer la logique et le premier principe énoncé par Bossuet, (en exemple il suffit d'écrire sur une boite "boite à fromage" pour que celle-ci devienne la boite à fromage officielle, même si elle n'est pas le meilleur outil), nous devons intégrer une part de la philosophie en physique. C'est donc bien la logique qui va nous indiquer quel est le meilleur outil en fonction des connaissances du moment, et cette logique est issue toujours du pourquoi, et jamais du comment. Et comme les sciences physiques sont limitees; au "comment", ainsi les chercheurs et découvreurs possèdent toujours une facette philosophique. Ainsi encore, il faut dans un premier temps différencié le sens profond des symboles, entrevoir la logique qui permet de les écrire. Nous devons en premier comprendre le pourquoi que je défends, ensuite et seulement ensuite les symboles que j'utilise pourront prendre un sens et servir à la communication.
L'analyse et la synthèse est défendue ici, mais en premier, il faut admettre qu'en science nous puissions discuter et définir des concepts. Et de par ce simple fait selon l'introduction, que le même objet puisse avoir des influences bien différentes, comme cela peut s'observer en régulation. C'est l'état du système qui compte et non pas l'échelon qui permet l'observation.

Je présente un système d'analyse composé des inductions des savoir du moment. Pour comprendre, les hystérésis, avec la méthode, nul besoin d'utiliser des représentations avec la lettre tau. J'utilise la lettre tau, de manière à bien séparer le concept qu'elle représente, du concept que représente la valeur jo, qui a un tout autre sens. L'un traduit par l'apparence d'une fonction retard, alors que ce n'est
qu'une induction de l'inertie du système (parfois temps de diffusion, ...), tandis que l'autre est caractéristique du facteur qui donne la forme à la variation.
J'essaie ainsi de séparer les concepts à l'aide de symboles, même si nous retrouvons la même écriture algébrique, le sens de la formule est donné par le symbole. C'est le sens du symbole qui est la raison
d'être de l'écriture, du type de modélisation. Des mathématiques qui ont oublié la raison d'être de la logique, tombe sous la loi du premier principe énoncé par Bossuet. Ainsi, une des premières choses
indiquée ici, est d'être dans quel cadre les symboles sont utilisés. Les valeurs ne sont plus des concepts de quantité, mais bien des rapports de manière à étudier comment ils variaient.
Le système proposé est très puissant et se développe sous de multiples formes d'associations. Plus nous affinons la recherche, plus nous affinons les détails et la précision de la modélisation. Mais
l'approche impose de percevoir les concepts de base qui sont bien différents des anciens, si nous ne voulons pas nous égarer dans des erreurs de construction. A ceci se rajoute le fait que quand nous
avons trop de facteurs, même si nous ou je pourrais les détailler, la facilité pousse à ne garder que la partie significative de la formule de manière à représenter et définir la modélisation facilement. Mais
je confirme que toutes ces modélisations ne sont que des boucles issues des algorithmes utilisées en régulation.
Comprenez qu'avec le même outil, selon comment nous le percevons et l'utilisons nous
pouvons faire des choses bien différentes (le couteau qui permet de nourrir le veillard édenté, ou pour l'assassin), ainsi, il faut en prendre de même, c'est la manière de percevoir et d'utiliser les formules qui leurs donnent toutes leurs valeurs et en induit aussi de nouvelle lois et formes d'associations utile à la modélisation.
Si l'étude historique nous apprend une chose, c'est bien que la réalité est en perpétuelle changement en fonction de nos connaissances du moment.
Ainsi que sont devenue les certitudes des égyptiens antiques qui plaçaient la terre comme le centre de l'univers et avaient ainsi réussit à l'aide de coefficients correcteurs à identifier longtemps à l'avance le mouvement des planètes comme si cela était une preuve de leurs connaissances ?
Ainsi que sont devenue les certitudes des savants bardés de certitudes qui alignaient la règle sur la ligne d'horizon de manière à démontrer que la terre était plate ?
Ainsi que sont devenues les experts en règles grammaticales, en sens déterminés du termes, des langues mortes et pour certaines même oubliées aujourd'hui ?
Combien de systèmes mathématiques sont devenues obsolètes et inutile à la modélisation ?
De fait si l'étude historique nous apprends une chose, c'est qu'elle n'est que le reflet et l'analyse de la mise en mémoire collective passant au travers de celle d'un individu. Le premier principe du
raisonnement de Bossuet reste une base, mais une base qui surf comme une savonnette sur la vague de la perception.
J'indique ici une nouvelle page de manière à identifier automatiquement combien de facteurs apparaissent dans une variation. www.letime.net/identification en utilisant l'étude des formes à l'aide de proportions en éliminant d'ambler les notions de quantités.
Les sciences physiques restent une branche des sciences et à ce titre doivent incorporer les nouvelles découvertes, ainsi nous savons que la terre est en mouvement comment pouvons nous garder un référentiel commençant par un nombre nul ? alors que le savoir nous indique que la vitesse varie d'un équilibre à l'autre ? Que la terre est en mouvement. La modélisation ou si préférez nos bases mathématiques doivent être modifiées pour correspondre à nos savoirs. Aristote l'avait déjà dit, il y a quelques siècles, les propositions doivent être le plus universelles possible. L'homme est de nature curieuse et les sciences suivent son mouvement.
Nous avons appris à reconnaitre les réactions en sciences physiques sur une base de quatre cas pour deux facteurs. En exemple :
cas 1 : a implique b
cas 2 : a implique que b est absent
cas 3 : b implique a
cas 4 : b implique que a est absent
Sur cette base nous pouvons encore développer des réciprocités et autres, mais la base de perception, de modélisation est ici nommée.
Maintenant essayons d'imaginer que ce système soit bon pour des hommes préhistoriques, ne possédant pas trop de moyens, et allons voir vers la grèce antique si quelques Platon ou Aristote, n'avaient quelques autres modélisations.
Nous nous apercevons que l'un d'entre eux accordait le secret de la vie à la forme du tourbillon. Continuons la démarche à l'aide des savoir du moment et voyons si cette forme peut être modélisée et prise comme base d'un modèle de réflexion, d'une modélisation, en d'autres mots d'un système mathématique.
Reprenons le cas de deux facteurs
cas 1 : a est une impulsion, et implique b, qui génère a et l'entretient.
cas 2 : a est constant, et implique b, qui accentue a jusqu'à sa limite
cas 3 : a est une rampe, et implique b, qui accentue a jusqu'à sa limite.
La différenciation des trois cas se fera à l'aide de l'étude de la forme des variations.
Les formules pour des cas si simples sont connues de tous, ce que je souligne dans cette proposition, c'est le fait que notre base mathématique n'est peut-être pas la meilleure. Vous allez me répondre
que Poincaré l'avait déjà démontré dans la science de l'hypothèse, mais ce que je souligne aussi ici, c'est l'étude des formes sans notion de quantité, juste avec l'aide d'une notion de pourcentage.
Actuellement celui-ci comme son nom l'indique est une proportion sur cent, mais rien ne nous empèche de prendre comme repaire les points remarquables en exemple les 63% dans le cas d'un seul facteur influençant un système naturellement stable.
Et la physique construite sur l'ancienne base mathématique ? me direz- vous. Elle est toujours la comme le harpon, avant l'invention du filet, elle est toujours la comme la pelle avant l'invention du
tractopelle, elle pourra toujours être utile pour les plus démunies. Elle était bien pour hier, mais pas pour aujourd'hui, qui demande un autre jour. Laplace, Lavoisier, et tant d'autres sont le passage qu'il
faudra franchir avant de pouvoir créer d'autres idées, afin de ne pas s'enfermer dans la croyance et le dogme.

Ex nihilo nihil
Expression dont l'auteur se perd dans la nuit des temps qui se traduit par rien ne vient de rien.
Source : Traité Elémentaire de philosophie de Paul Janet édition de 1881.


La légende veut qu’Antoine Laurent de Lavoisier soit le père de la chimie moderne et que l’alchimie fut balayée par ses travaux. Elle fait de lui un homme solitaire menant une révolution scientifique face à une institution unie contre lui et l’auteur de la fameuse loi " rien se perd, rien ne se crée ". Pourtant, s’il est bien à l’origine de la chute de la théorie du phlogistique, il semble peu probable qu’il soit l’auteur de la " loi de Lavoisier ". De plus, d’après certains historiens, il apparaît plutôt comme un savant bien établi dans la communauté scientifique où il a, évidemment, des alliés et des ennemis. Il n’en reste pas moins que les travaux de Lavoisier furent d’une grande importance dans l’histoire de la chimie.
portrait de lavoisier


Je pense que ex nihilo nihil ou rien ne se perd, rien ne se crée peut se traduire par le zéro n'existe pas.
C'est ce qui m'a poussé à rechercher un modèle mathématique où le zéro n'existe pas.


Même si croire c'est se tromper, un des caractères de l'homme c'est de croire; ne pas croire c'est toujours croire à ne pas croire.
Puisque nous sommes obligés de croire, et puisque je pense que le zéro dans les sciences n'existe pas, j'observe ce qui est en opposition à ce qui pourrait être.
Si j'analyse un phénomène physique à l'aide d'une logique commerciale, je vais faire un inventaire de ce qui est et de ce qui n'est pas. Donc je vais avoir des actions qui n'existent pas et qui vont être représentées par la valeur zéro.
Si j'analyse un phénomène physique en observant ce qui est, ce qui a été est ce qui est sous une autre forme donc le passé existe toujours mais a changé de représentation.
(La démonstration affirmative est supérieure à la démonstration négative). Un champignon ne se voit pas avant sa sortie de terre pourtant il existe. A l'aide d'une démonstration par l'effet ( imparfaite ) nous pouvons dire que ce champignon existait même si nous ne le voyions pas.
ANDRE pierre jocelyn 1993

Les principales lois établies par Aristote sont :
1)La démonstration universelle est supérieure à la démonstration particulière.
exemple : Le fait que la ligne d'horizon corresponde à une règle ne prouve pas que la terre est plate, voir l'article sur Innovation Santé.
2)La démonstration affirmative vaut mieux que la démonstration négative.
3)La démonstration affirmative et même la démonstration négative valent mieux que la démonstration par l'absurde.
Toujours d'après Aristote on distingue deux sortes de démonstration :
1)La démonstration parfaite, ou démonstration par la cause.
2)La démonstration imparfaite, la démonstration par l'effet
Analyse des géomètres grecs :
Définition d'analyse et de synthèse d'après Pappus.
L'analyse est le chemin qui, partant de la chose demandée, que l'on accorde pour le moment, mène par une suite de conséquences à quelque chose de connu antérieurement ou mis au nombre des principes reconnus pour vrais : cette méthode nous fait donc remonter d'une vérité ou d'une proposition à ses antécédents, et nous la nommons analyse ou résolution, c'est-à-dire solution en sens inverse.
Dans la synthèse, au contraire, nous partons de la proposition qui se trouve la dernière de l'analyse : ordonnant ensuite d'après leur nature les antécédents qui plus haut se présentaient comme des conséquents et les combinant entre eux, nous arrivons au but cherché, dont nous étions partis dans le premier cas.
Concept de chose et de phénomène.
De l'oeuvre de P. Janet :
" Quand à la science, ou aux sciences de ce qui ne vit pas la division est plus délicate.
Nous dirons d’abord que dans la nature on peut distinguer deux points de vue : ou les choses elles-mêmes, ou les phénomènes. Ainsi une pierre est une chose, un métal est une chose ; l’eau l’air sont des choses, mais le son, la lumière, la chaleur ne sont que des phénomènes. Pour qu’il y ait son, lumière, chaleur, il faut qu’il y ait des choses sonores, lumineuses, échauffées. Ainsi les phénomènes ne sont pas par eux-mêmes et supposent des choses. Cependant ils peuvent être observés et étudiés indépendamment des choses. ".

Donc nous avons les choses ou matière, et les phénomènes. La principale différence entre les deux est que l'un persiste et que l'autre est une image qui apparait ou disparait. Si je continue le raisonnement, je peux dire que le temps est un phénomène, et même qu'il va nous apparaitre ou disparaitre en fonction des choses sur lesquelles il va porter son image.

Caractéristique du temps sur un système physique en évolution :
exemple sur l'homme : une heure pour un enfant de dix heures, c'est un dixième de sa vie; alors qu'une heure pour une personne de soixante douze ans ne représente certe pas un dixième de sa vie. Les poètes ont su le dire comme Pagnol qui parle des étés de son enfance.
Andre P.J.




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