dévelopement informatique en général

joris Abadiejoris Abadie



L'informatique a permis de grandes avancées dans les moyens de communication, mais comme toutes les sciences celle-ci est soumise aux lois de la logique.

Que serait un pilote de course si aucun mécanicien ne lui avait montré les pédales ou la clef de contact ?

Que serait un pilote d'avion si personne ne lui avait expliqué les cadrans ?

Ainsi, quelques soient les spécialistes du domaine, les spécialistes ont toujours besoin d'avoir quelques informations d'autres sciences pour pouvoir savoir utiliser les outils utilisés.

Avant de parler de l'informatique elle-même prenons un cas plus simple qui est celui des sciences physiques. Les physiciens observent avec leurs sens et raisonnent avec leurs cerveaux, ainsi avant même de devenir physiciens tous hommes voulant étudier en cette science devra en premier se développer en psychologie, au moins pour connaître ce qu'est une science, pour connaître ses sens afin d'éviter les erreurs sur la mesure, pour connaître les fonctionnements de la raison de manière à éviter les erreurs engendrées par les sophismes. Nous rencontrons sur plusieurs des autres pages de ce site la démonstration que le temps, la forme des variations, est exponentiel ; la logique voudrait que l'outil qui sert à mesurer le temps soit lui même de forme exponentiel, pourtant un ancien sophisme pousse les physiciens à garder un outil de mesure construit à l'aide d'échelons constants. Ce sophisme est induit par la force de l'habitude, mais par chance en science informatique le cas ne se présente pas car cette science est assez jeune pour éviter d'en faire autant.

En science informatique, nous rencontrons plusieurs langages qui évoluent tout le temps, de plus cette science est construite sur plusieurs couches qui possèdent chacune ses propres lois. -le hard, le système d'exploitation, les spécificités logiciels et la toile. En d'autres mots, cette science laisse libre cours à la pensée humaine en lui permettant de modéliser une infinité de concepts. Mais observons quelle technique utilise cette science, pour pouvoir prétendre à toutes ces fonctions. Nous pouvons en premier remarquer que cette science utilise plusieurs techniques pour faire les additions dont certaines peuvent nous sembler bien étrange alors qu'elles ne font qu'utiliser qu'une autre logique que celle enseignée par le monde cartésien. Par exemple pour une addition, bien que le résultat obtenue semble le même, nous voyons apparaître de nouvelles lois d'associations qui varient encore parfois selon le langage. Toujours dans le même domaine, nous pouvons observer encore construit sur ces différents langages, ce que nous nommons les boucles. Les boucles sont de différentes natures, elles peuvent être conditionnée ou simple retour de cycle, mais ce qui importe le plus, c'est qu'elle représente le retour de la réaction sur l'action. C'est qu'elles représentent l'association particulière du concept Laplacien, c'est qu'elles représentent par elles-mêmes la fonction exponentielle, la fonction qui permet de modéliser le temps, c'est qu'elles représentent par elles-mêmes la réflexion.

En d'autres mots, la science informatique, s'est détachée du concept cartésien dans ses moyens de fonctionnement, sans avoir pour autant à justifier ses choix rien que du fait des applications. Pendant les actions, la notion de temps construite sur un échelon unitaire perd par là même toutes sa valeur, jusqu'à ce que l'informaticien trouve un cycle complet stable de manière à pouvoir l'utiliser à nouveau. Le fait de pouvoir quantifier les cycles permet de ne point froisser le cartésien, mais ceci n'apporte pas pour autant une validité à ce concept. L'informatique dans ses concepts de conception, utilise des symboles de repères qui font que les notions d'adressage ont remplacées les notion de temps pour pouvoir communiquer quelques soient les émetteurs et les récepteurs.


Andre P. J.

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