Hypothese sur le temps
Méthode de mesure en sciences physiques

Director: Pierre Jocelyn ANDRE (born Novembre 1, 1960)
Homme et Temps joris Abadie


EX NIHILO NIHIL ? American's langagesupporter de : Internet libre Toolinux, le journal du Libre Wiki Lecjoa

 

Le but de ces quelques lignes est d'ouvrir un nouveau concept sur la manière de percevoir et de mesurer le temps.

Quelques mots : Il y a longtemps maintenant, j'avais rêvé d'un autre monde, un monde où le temps serait parfait, où le temps nous appartiendrait. Chacun le sien au moment, pour l'enfant d'un jour, le jour serait sa vie, l'année l'infini ; pour l'adulte le jour serait l'instant, l'année de moins en moins jusqu'à ce quelle ressemble à celle d'avant, jusqu'à presque rien. L'équilibre, la mort ne serait que la fin d'une répétition fatigante. Si ce n'est ce paradoxe qui pousse l'instant à une nouvelle vie, une nouvelle éternité pour chaque expérience. Chaque variation, possede sa propre base de temps, bien differente de celle des saisons. Et peu importe, si il y a trente mille ans, l'homme de néandertal a voulu imiter son Dieu, le soleil, en reprenant sa base de temps apparente, et peu importe qu'il ait construit Stonehedge, je préfere vivre a la lumiere du savoir d'aujourd'hui bien loin d'un conditionnement issu d'un passé loingtain. Et peu importe, si je suis né dans un siècle qui pense que c'est la cupidité qui fait avancer le monde, Et peu importe, si je fais partie d'un des derniers à percevoir le monde avec la perception qu'avait l'Europe du temps du siècle des lumières. Un monde qui n'utilise pas l'algèbre car cela échantillonne, un monde qui analyse un tout, comme ce site ouvert à tout ce qui a un rapport à l'homme. Je refuse d'imiter, de singer, d'utiliser l'algèbre qui nous enferme dans ce monde à la néhendertal, pour construire des relations humaines ou des logiciels comme les USB bootables, le logiciel Gkri, ou encore le format audio abadie.jo. Ces logiciels sont tous construits sur le même principe que l'on rencontre dans la nature, un tout petit code dans un langage qui se transforme en code plus grand dans un autre langage, qui encore se transforme encore et encore en se grandissant. De imagine en quelques dizaines d'octets au format brut en centaine de Ko, de Gkri sous bash qui donne du html, du php, du xml, du langage objet, ...

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Exercice de découvertes sur les lois des sons

Démonstration sur le temps en science physique, j'ai créé un logiciel qui reproduit la voix humaine sans l'algèbre, sans cosinus ou sinus et en plus c'est très léger. J'ai aussi créé une carte audio en utilisant ma propre technologie adaptée aux lois des sons (aucune application commerciale autorisée). Le logiciel pour les cartes audio autre que ma technologie est en téléchargement gratuit pour Linux et, par ici pour windows

PianoBaul HTML5 violon b1

Structure du site


A) Démonstration que le temps est exponentiel en mécanique des fluides. Détail du texte d'origine.
B) Démonstration sur des courbes définies comme impossibles à représenter arithmétiquement ; généralisation du temps exponentiel en science. Exemple en biologie. et Exemple en mécanique des fluides.
C) Valeur de la démonstration : philosophie de l'hypothèse sur le temps.
D) Développement logique et relations entre mathématique, science physique ou biologique et philosophie : pour une meilleure compréhension du site.
E) Recherche d'exemples et de définitions , les autres pages.
F) La cohérence : Paul Janet. ( Philosophie et citations de philosophes )
F) La modélisation : Laplace. ( Philosophie du siecle des lumières en sciences physiques )
G) Langage multidirectionnel en HTML5 : Lecjoa ( Générateur de vidéo sans fichier image et sans fichier son )
H) Lecjo ( plugin audio )
I) PianoBaul ( Générateur d'instrument de musique, nouvelle sonorité, application ultralégère inclus dans Lecjoa )
J) Tutoriel Lecjo ( Construction logique accompagnée des lignes codes induites )
K) Tutoriel Lecjoa ( Construction logique accompagnée des lignes codes induites )


synthe musical. . ubuntulive usb.

Applications sur le temps à développer :

a ): Un logiciel d'application du temps biologique. En d'autres mots un logiciel qui permet de connaître l'âge réel de notre corps en opposition à un âge mesuré à l'aide d'un temps social.
b ): La mise au point d'un mécanisme, qui peut être électronique, pour mesurer d'une manière exponentielle les systèmes physiques. La particularité de cet appareil sera de faire ressortir les progressions linéaires, puisque la correction exponentielle sera faite sur le temps.
c ): La mise au point de tableaux faisant ressortir la particularité de chaque phénomène. En exemple, en biologie, chaque enzyme pourra être identifié à l'aide d'un nombre sans dimension. Caractéristique d'une analyse avec un temps exponentiel.


Avantage du concept proposé sur le temps.

Le concept sur le temps permet :
A) De définir une méthode d'analyse simplifiée des courbes expérimentales et identifier le nombre de facteurs influençant les courbes analysées.
B) De déterminer un nombre sans dimension qui sera caractéristique de chacun de ces facteurs et qui se retrouvera dans les autres analyses fesant intervenir ces facteurs.
C) De se libérer de la notion de quantité qui est une des grandes problématiques de la biochimie moderne, car les produits purifiés sont extrèmement couteux et parfois même rare.
D) De passer d'une analyse sur deux dimensions à une analyse sur une dimension, car la base de temps est considérée, dans la méthode, comme étant la variation elle-même. Ceci simplifie grandement les calculs.
E) D'utiliser une méthode simple, accessible à tous sans avoir à faire appelle aux mécanismes complexes de la régulation en utilisant une méthode de rapprochement des intervalles et d'identification de forme de courbes pour identifier les phénomènes mesurés ou analysés.



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Pour se promener autour du temps

Le terme et son influence sur la logique

Le terme est une des clefs qui permet le raisonnement.
Sans la symbolisation, impossible de mettre l'information en mémoire, impossible de percevoir le temps,car le temps est variation, le temps est phénomène. Ceci induit que notre raison utilise le terme et ses lois pour percevoir le monde. Le terme par effet devient notre grandeur et notre faiblesse, grandeur en créant la communication avec soi-même et avec autrui, faiblesse en créant les dogmes et en déformant les concepts qu'il représente. De la sorte, quand je cherche les limites du raisonnement j'en apperçois trois :
Le premier principe de Bossuet qui dit qu'un terme ne peut représenter qu'un seul concept.
Le deuxième principe de Cousin qui dit que chaque terme change de sens en fonction des connaissances du moment, de l'époque.
Et le troisième principe que je propose qui dit que le terme déforme le concept qu'il représente, ou encore que la modélisation est toujours restrictive et orienté en fonction de la perception, et par la même détruit le concept. Ainsi la crédibilité du terme ne devra jamais dépasser 63% de sa valeur optimale que nous pouvons nommer dogme. Cette valeur de 63% est issue de la forme
crédibilité = dogme (1-exp(-v/jo)) avec "v" étant une variable
et jo le nombre caractéristique de la raison.
En d'autres mots, notre force n'est point dans la pureté ou encore dans la justesse d'un concept, notre force est dans la variation qui nait de la pluralité. Notre force est l'archiviste qui joue et évolue en même temps qu'il classe les nouveaux concepts, en même temps qu'il étudie ceux qui se marient entre eux, variations toujours aussi fortes qu'il évolue, qu'il vit. La force est dans les hommes à l'unissons, qui créent et non pas dans un dogme que représente un homme ou un concept. Ainsi l'homme est mouvement, l'homme est variation, aussi bien dans son corps, que dans ses idées. La forme de ces variations (la forme du temps) a motivés ces écrits et ceux qui suivent.
Mourrir, c'est juste s'arrêter de penser,
Mourrir c'est juste se soumettre à une seule idée.
Ainsi le concept analyse l'esprit qui a créée chaque axiome, ne gardant que l'origine pour modifier ses effets en fonction des connaissances du moment. De la sorte que même le premier axiome de base, l'égalité à l'aide de ce système n'est plus perçu de la même façon, entrainant de nouvelles lois mathématiques bien différentes de celles utilisées actuellement issues de la comparaison. La réflexion (influence de la réaction sur l'action) implique de ne jamais se focaliser sur un terme, mais d'identifier l'origine et l'esprit qui l'a créée de manière à pouvoir utiliser ses effets en fonction des connaissances du moment.

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Syndication

Soit l'homme perçoit et modélise le monde à l'aide de son instinct comme nous le rencontrons parfois sur le terme -temps-, ce qui impose une approche cartésienne sans se préoccuper des caractéristiques du temps, qui impose de percevoir au travers d'unités dites universelles tout en sachant que celles-ci sont incompatibles avec la raison puisqu'elles ne permettent pas de modéliser les variations en sciences physiques, en biologie ou bien même en psychologie. Soit l'homme perçoit et modélise le monde en identifiant les caractéristiques qui donnent les formes des variations, comme le facteur retard -tau-, le nombres de facteurs créant la variation, ou encore les caractéristiques de ces facteurs -jo-. Comment expliquer que PERCEVOIR LE MONDE AU TRAVERS D'UNITES EXTERIEURES N'EST PAS PERCEVOIR LE MONDE AU TRAVERS DES FACTEURS QUI INFLUENCENT LES VARIATIONS.La notion de grandeur universelle peut-être introduite dans la mesure du temps, mais pas comme repère dans l'analyse, juste comme repère final pour pouvoir communiquer en fin d'analyse, contrairement à Descartes qui affirme que c'est le repère universel qui permet l'analyse. La reconnaissance de ces deux grandes techniques de la pensée moderne en science physique dépend de trois facteurs. Le premier de ces facteurs est l'oublie. L'oublie de ce que les sciences physiques sont. Cet oublie a permis à la pensée de Descartes de devenir prédominante, car si non comment imaginer qu'un objet soit supérieur à la raison de sa création, comment imaginer une méthode universelle issue d'un homme qui ne l'est point, issue d'une perception en perpétuelle évolution ?
Le deuxième de ces facteurs est le reniement du siècle des lumière, car c'est à cette époque que nous trouvons l'apogée des études des erreurs sur la mesure, c'est à cette époque que se développe l'étude des sophismes, c'est à cette époque qu'il est démontré que le système proposé par Descartes est un sophisme. Mais comment dénoncer un système quand les outils de l'époque n'avait point les moyens de développer un outil mathématique assez puissant pour décrire les facteurs créant la variation ? Comment se séparer de ce mauvais outil, quand aucun autre n'était encore prèt à le remplacer ? Même si aujourd'hui à l'aide des évolutions en cette branche de la science physique que nous nommons régulation, nous pouvons modéliser à l'aide des donnant la forme de la variation, comme le facteur retard due à la diffusion, ou encore au caractère de chaque facteur nommé -jo-, il ne faut pas oublier que ce fait est encore relativement récent.
Le troisième de ces facteurs provient du fait qu'une vérité n'est valable que si celle-ci est partagée, or en ce début de XXème siècle 80% de la population était encore paysanne, une population réglée au rythme cyclique du soleil, une population qui se satisfaisait très bien d'un système prenant comme repère une unité dite universelle. Or depuis que nous sommes dans cette société de communications interactive depuis la naissance de la toile, que notre société n'est plus composée que de 2% de paysans, comme a su si bien le décrire les excellentes études de nos frères allemands dans la gestion du temps en entreprise, le rythme de la vie obéit aux lois de la réaction qui influence l'action, et donc de fait les allemands gèrent leurs temps à l'aide de bases exponentielles. Ce fait rend à l'analyse des facteurs influençant le temps l'hommage d'utiliser la modélisation par l'étude des facteurs influençant les variations, mais bien plus que cela, les allemands introduisent dans leurs réflexions un modèle bien différent de celui proposé par Descartes.

Principes de l'analyse en science physique.

Considérant que l'ignorance, l'oubli et le mépris de ce que les sciences physiques sont, sont les principales causes des malheurs scientifiques et de la corruption des idées, j'ai résolu d'exposer dans une déclaration solennelle les principes de l'analyse en sciences physiques, inaltérables et universelles de l'homme. En conséquence, je reconnais et déclare, en présence de tous et sous les auspices du siècle des lumières les principes suivants :

Premier principe :
L'analyse en science physique est fille de la logique pure. De la sorte qu'il ne sera reconnue comme science physique que ce qui appartient aux sciences, comme le pratique le CNAM par l'enseignement des erreurs sur la mesure, dans le cadre des sophismes en sciences qui nous sont indiqués par Pierre-Simon Laplace et Paul Janet. A savoir comme nous l'explique et le démontre Laplace dans -Essai philosophique sur les probabilités- que les titres engendrent des croyances aveugles qui se perpétuent de génération en génération et que ceux-ci ne trouvent nulle place en science physique. A savoir comme nous l'explique et démontre Paul Janet dans -Traité élémentaire de philosophie- que les sophismes qui peuvent être classés dans neuf sortes sont les égarements de la réflexion. En exemple le sophisme qui consiste à juger la crédibilité d'une analyse en science physique à l'aide de l'orthographe. Ceci est un sophisme car les deux sciences ne sont pas liées d'une manière absolue.

deuxième principe :
Nous devons savoir reconnaître et distinguer les avantages de l'instinct pour communiquer et comment la réflexion et les concepts du siècle des lumières remplacent l'instinct. En d'autres mots, nous reconnaissons trois grandes périodes historiques en sciences, la première est celle présentée par Aristote, qui se perd dans le fond des ages jusqu'à Descartes. Celle-ci observe le monde d'une manière continue mais ne possède pas les outils mathématiques qui lui permette de le modéliser. La deuxième est celle qui se pratique encore aujourd'hui proposée par Descartes, qui perçoit le monde d'une manière discontinue. Cette technique bien que basée sur l'instinct est très puissante car elle nous apporte les outils indispensables à la communication, elle nous apporte une technique qui nous permet de classer les repères. Mais cette technique possède un grand défaut, celui de ne presque point nous permettre de modéliser, et quand la modélisation est possible, celle-ci est tellement limitée à des cas très simple rare dans la nature en science physique qu'il est difficile de lui apporter un vrai crédit. La troisième est celle qui fut présentée par les philosophes du siècle des lumières qui apparaît ponctuellement, quand lavoisier, poincaré ou bien d'autres savants français nous présentent une nouvelle découverte en science physique, mais n'en est pour autant toujours pas reconnue. La troisième période historique propose que nous n'analysions point les phénomènes physiques à l'aide d'unités dites universelles, mais que nous analysions les phénomènes physiques en fonction de leurs formes et influences qui les produisent, les unités sont réservées pour la fin de l'analyse de manière à pouvoir communiquer. En exemple la description des systèmes réversibles et de leurs hystérésys.

troisième principe :
Dans le cadre de la troisième période historique en science physique, celle de la réflexion, nous reconnaissons un nombre sans dimension nommé -jo- qui est la valeur caractéristique qui donne la forme des variations. En d'autres termes, je présente depuis 1993 que chaque forme de vanne, chaque enzyme, chaque facteur influençant une variation, peut être identifié à l'aide d'un nombre sans dimension nommé jo. Le troisième principe dit que nous n'analysons plus les systèmes physiques à l'aide d'une base extérieure dite universelle, mais que nous analysons les systèmes physiques à l'aide de concepts comme le facteur de diffusion nommé -tau- qui donne cette forme retard particulière de bas de s aux courbes mesurées, comme la valeur nommée -jo- qui représente la caractéristique du facteur influençant la variation, comme la valeur k qui représente la valeur maximale de l'objet étudiée ce qui nous permet de conserver les avantages de la communication apportés par Descartes. Les lois apportées par la troisième période historique en science physique sont bien différentes des lois cartésiennes et même incompatibles, mais celles-ci trouvent leurs validité dans les nombreuses applications que nous trouvons dans la science physique nommée -régulation-

quatrième principe :
Comme le premier principe en science physique trouve son origine dans le concept qui a fait naître le terme -sciences physiques-, comme le deuxième principe trouve son origine dans le premier, comme le troisième principe trouve son origine dans le deuxième principe, encore le quatrième principe trouve son origine dans le troisième. En d'autres termes, nous devons utiliser le troisième principe pour pouvoir appliquer le quatrième. Le quatrième principe nous indique comment utiliser les lois de la modélisation. En exemple dans la nature de nombreux phénomènes sont naturellent stable, que ce soit le pas d'une fontaine, qui garde l'eau jusqu'au niveau quand il en manque, et rejette de plus en plus en fonction de la quantité en trop, ou encore la reproduction cellulaire du derme qui s'auto régule, ou encore la médecine dans l'antiquité qui savait doser le poison de manière à éliminer les cellules les plus faibles, celles qui avaient perdues les extrémités de leur message DNA et se multipliaient à foison. Nous remarquons cette particularité qui produit juste le nécessaire, car pas assez et le système s'éteint et trop, c'est pareil il s'éteint, comme cette maladie qui se nomme le cancer. Nous pouvons nommer ceci la réaction qui influence l'action et modéliser ceci sous une forme exponentielle particulière. Souvent donc les systèmes stables ne sont point au début de leurs possibilités, ou à la fin de leurs possibilités mais vers 63% de la variation possible comme si un seul facteur intervenait et se trouvait au sommet de son influence. En d'autres mots encore, le quatrième principe nous dit que la variation est égale à la variation maximale possible facteur du pourcentage que nous donne la forme en fonction du temps. Utiliser un temps repère cartésien est très utile car ceci nous permet de communiquer, mais il faut bien comprendre que dans l'analyse chaque phénomène possède sa propre base de temps. Quand à la forme elle nous est donnée par le nombre de facteurs en utilisant la réaction qui influence l'action. Ce qui s'écrit dans le cas d'un seul facteur significatif naturellement stable :
y = k ( 1 - exp ( -t / jo ) )
avec jo le nombre sans dimension caractéristique du facteur se trouvant par la mesure à 63%
avec y la position en fonction du temps
avec k la valeur maximale, de l'objet, mesurée
avec t la base de temps cartésienne de manière à pouvoir communiquer.
cinquième principe :
Comme nous l'avons vue dans les principes précédents, la troisième périodes en sciences physique observe que le monde évolue d'une manière continue, et donc obéit aux lois d'une forme exponentielle particulière puisque les réactions influencent les actions comme quand nous passons le doigt sous un filet d'eau sortant du robinet, nous pouvons observer que l'amont du filet d'eau s'en trouve modifié. Le cinquième principe décrit une de ces lois particulières liées au concept -tau- qui représente le temps de diffusion du facteur créant la réaction même si celui-ci nous apparait comme un facteur retard de l'ensemble du mouvement. Cette particularité nous apparait distinctement quand nous étudions les systèmes réversible, car c'est d'elle que nait les hystérésys.
L'observation des courbes nous indique que la fonction retard s'écrit :
La valeur mesurée égale la valeur maximale que multiplie, la valeur issue de la forme de la courbe moins la valeur issue de la forme de la courbe facteur facteur de la forme de la fonction retard. Ce qui donne en exemple si sans fonction retard nous avons
y = (1-exp(-t/25)) ,
alors avec la fonction retard nous aurons 
y = (1-exp(-t/25))-(1-exp(-t/25))*(exp(-t/tau))

LES TROIS TEMPS

Andre pierre jocelyn.

En quatrevingt-treize, j'avais un système physique à analyser. Je me suis donc assis au bord de l'eau et j'ai observé.
Ce que j'ai vu et mesuré était étonnant, et en particulier, ce qui concerne le temps. J'ai vu que la
matière attire la matière, et si celle-ci a un sens, la matière attirée prendra le
même sens, en quelque sorte c'était le
même principe qui veut
que de penser
à des actes
heur
eux
at
ti
re
le
b
o
n
h
e
u
r
.

J'ai continué l'observation et j'ai vu que des tourbillons se formaient aux pieds des ventelles, j'ai vu qu'un phénomène, pouvait entraîner un autre phénomène beaucoup plus puissant, un peu comme dans une casserole d'eau, si vous faites tourner l'objet en l'accompagnant, donc en imposant, celui-ci ira à la vitesse de votre poignée, mais si vous donnez quelques petites impulsions, il se créera un tourbillon d'une vitesse tendant vers l'infini. C'est encore le même principe utilisé par Homère pour enseigner la matière et par Saint Exupéry , l'esprit. Ils ne dictent pas, il proposent des idées qui accélèrent l'esprit, cet esprit stimulé de petites impulsions, crée de nombreuses autres idées bien plus puissantes, particulières à chacun.

Vous savez en été, on se plaît au bord de l'eau, aussi j'ai continué l'observation, et j'ai trouvé la clef qui m'a permis d'analyser ce canal, chose que personne n'avait déclaré savoir faire. Ce que j'ai observé, c'est que : chaque chose n'est analysable que par rapport à elle-même, ainsi les lignes des fluides ont leurs propres vies, de fait ces principes physiques n'étaient analysables que par rapport à eux-mêmes d'une manière exponentielle. Je n'ai pu que me pencher sur ma perception ; sur

le temps de l'événement

, nous étions encore dans les premiers jours de mon stage, pourtant les premiers contacts étaient pris, j'avais posé mes marques, l'événement était déjà fini, ainsi je reconnue le temps de l'événement, le temps qui fait que chaque nouvelle expérience tend vers l'infini dans les premiers instants pour se stabilisé dans la mort d'une répétition. Ces événement qui commence d'un équilibre vers un autre qui ne s'oublit qu'au prochain événement, sinon jamais.

Le concept ne tarda pas à développer, et fit apparaître un

temps individuel

qui m'était particulier, en rapport avec mon age, id pour ces jeunes secrétaires ou ce bienveillant gestionnaire. Chacun le sien au moment repère de l'instant vécu, à dix ans je me regarde comme Marcel Pagnol à l'aide des yeux d'un enfant de dix ans, mais à trente ans, je me regarde à l'aide des yeux de cet homme de trente ans.

Le temps social

, ce temps commun qui marque le rendez-vous était présent comme un ogre, mais les systèmes physiques l'effaçaient en souriant, rendant le chronomètre ubuesque de par son fonctionnement. Ce temps social fils des planètes qui apporte une deuxième dimension bien inutile au temps de l'événement dans les équations, est rejeté car le temps est la variation du système étudié et ne se représente que sur une dimension.

J'avais réalisé l'objectif, alors j'ai continué à observer, et j'ai vu que quelque soit le chemin parcourue par l'eau, elle ressortait toujours par les mêmes ventelles, comme la lumière pendant la leçon sur les interférences, ou encore comme les rayons x, ainsi quelque soit le chemin parcourue, les pensées des grands philosophes se retrouvent au même point, la différence est la manière, le chemin emprunté.

Cette histoire de temps me semble extraordinaire de part les nombreuses applications, alors je m'offre encore un peu d'observations, et j'affine le deuxième principe en un nouveau principe séparant les lois de fonctionnement, les lois de la globalité étant totalement différentes et indépendantes des lois des particularités qui l'on créent. La cinquième loi est la partie placée entre parenthèse dans la deuxième loi : " j'ai vu qu'un phénomène,( aux lois particulières,) pouvait entraîner un autre phénomène beaucoup plus puissant ( régit par de nouvelles lois.)" En exemple sans angle vif, O et O et O associés donne une figure aux nouvelles lois ou trois angles vifs apparaissent.

Le vide a le charme de laisser l'imagination le remplir.