QUELQUES MOTS D'EXPLICATIONS

Les écrits se trouvant sur ce site sont issues d'une découverte en science physique que j'ai effectué en quatrevingt-treize, pendant neuf ans, j'ai traduit en philosophie les concepts, reflet de la découverte. En deux mille deux, j'ai essayé d'appliquer un des principes de la découverte en créant ce cite internet, mais n'ayant pas le talent d'un Homère ou d'un Saint Exupéry, la méthode mal maîtrisée a rendue mes textes très difficile d'accès et seul des minorités ont aperçu la globalité des choses présentées. J'avais voulu, être une de ces personnes qui apportent les ingrédients du repas, laissant le choix aux convives de les préparer à leurs convenances. Leurs analyses et leur raisonnements gagnant la  richesse de leur particularité et de leur diversité. A la date anniversaire, ce premier novembre 2004, j'ai décidé d'abandonner cette technique que je ne maîtrise pas, la laissant aux soins de personnes plus habiles, pour reprendre l'expression d'une manière plus classique et conventionnelle. L'expression ne deviendra pas parfaites car je ne saurai donner quelques choses que je ne possède pas, mais je vais modifier le site afin de le rendre plus claire. En d'autres mots, mon but était d'induire en passant par le détail vers la généralité, comme ont su le faire les écrivains cités, maintenant il n'est plus que de présenter, en commençant de la généralité vers le détail. J'avais écris pour construire, nul besoin de détruire, c'est la raison pour laquelle les écrits se trouvant anciennement sur la page d'accueil sont reportés ici.


Démonstration :
Puisque la philosophie est la recherche des premières causes et des premiers principes ; et puisque le premier principe de tout raisonnement est le principe d'identité, plus connu sous le nom de « omne subjectum est proedicatum sui », le principe qu'une identité ne peut varier dans un raisonnement ; et puisque encore le zéro représente le néant par définition. Je pense que nous ne pouvons pas accorder au zéro un contenu autre que le néant. En d'autres termes nous ne pouvons pas utiliser le zéro dans une représentation ou analyse physique modélisant de la matière; car même si cette matière a changé de forme à travers le filtre de notre perception, rien ne nous permet de dire qu'elle n'existe plus. Je pense que le croire ou l'écrire à l'aide du zéro est une erreur. Andre p.j.
Je propose d'aborder l'analyse des systèmes à l'aide d'un état d'ordre. En d'autres mots, observer l'état de la matière entre deux formes, ou encore en d'autres mots prendre une référence qui serait l'état final, et une source qui serait l'état le plus désordonné ou état initial, ayant pour valeur " 1 ". Dans cette échelle nous pouvons retrouver tous les états d'ordre, ( en fonction du sujet, particularité analysée ), des formes ou combinaisons de la matière.
Andre p.j.
Comme a su le décrire le philosophe Paul Janet, dans les années 1800, ( il existe des philosophies particulières aux sciences). Le regroupement de ces philosophies auxquelles on rajoute la philosophie des philosophies, la plus noble, donne la philosophie en générale.
De là, je pense qu'il est possible d'admettre qu'il existe plusieurs types de logiques. Celle que nous utilisons est une logique d'échange, ou encore logique commerciale, ce que j'appelle le temps du négoce.
En opposition, je pense que l'on peut, et que l'on doit utiliser en science dure une autre logique que j'appelle le temps des sciences.
Pour arriver à le démontrer, je reprends en premier l'expression « Ex nihilo nihil ». Cette expression, qui se traduit par « rien ne vient de rien », est la citation des anciens pour les philosophes de la Grece antique. Mais ce qu'il ressort, c'est que dans la nature rien de vient de zéro, ou encore rien ne peut être décrit par le zéro, ou bien encore le zéro n'existe pas. Un iota oui, mais pas le zéro.
Plus récemment Antoine Laurent de Lavoisier, père de la chimie moderne a écrit sa loi " rien se perd, rien ne se crée " , ce qui reprend dans des branches des sciences dures l'expression Ex nihilo nihil.
Même les indiens d'Amérique partagent cette idée, le grand chef Seattle a déclarer " There is no death, only a change of worlds" ce qui démontre l'universalité de cette pensée.
Ces éléments permettent de dire que le zéro n'existe pas en science dure et de fait m'ont poussés à rechercher un modèle mathématique où le zéro n'existe pas.
Développement de l'hypothese sur le temps.
a) Nous avons les choses ou matière, et les phénomènes. La principale différence entre les deux est que l'un persiste et que l'autre est une image qui apparaît ou disparaît , car un phénomène a besoin d'une chose pour se manifester. Dans ce raisonnement le temps est un phénomène. Ce n'est pas parcequ'il n'y a pas d'objet ou matière pour refléter un phénomène qu'il n'existe pas et donc je pense que l'utilisation du zéro en science reste une erreur.
b) Une heure pour un enfant de dix heures représente un dixième de sa vie, alors qu'une heure pour une personne de soixante douze ans ne représente certes pas la même proportion.
c). Plus on profite du temps, ce qui se traduit par plus nous avons de nouvelles expériences ; plus nous avons l'impression de manquer de temps pour pouvoir analyser les évènements. Donc plus la valeur d'une seconde a d'importance, plus le temps nous semble court; ce qui est un paradoxe.
Pourquoi un aspect philosophique?
Car les mathématiques sont un des outils de la pensée, donc de la philosophie. Pour démonstration je cite une partie du texte de Georges Kloti :
"La science moderne est née à la fois de l'exploration du monde sensible par l'expérience physique et de l'explication de l'expérience physique par le monde intelligible des mathématiques.
Ainsi, en dernière analyse, c'est sur les principes mêmes des mathématiques, c'est-à-dire sur les premiers principes de la logique que repose tout l'édifice des sciences contemporaines.
Essayons d'abstraire encore et demandons-nous quel est le premier principe des principes de la logique. Nous constaterons que c'est le principe d'identité que Leibniz a exprimé sous une forme simple : A est A.
Avant le développement de la science expérimentale moderne on s'accordait généralement à reconnaître une distinction entre le monde sensible, celui de la science, et le monde intelligible celui de la métaphysique.
Pourquoi ? Parce que dans le premier, le savant juge, raisonne à partir d'expériences sensibles ou bien vérifie par des expériences sensibles la validité de ses théories et de ses raisonnements.
Ainsi est-il parfaitement clair que le critère, c'est-à-dire le moyen de distinguer le vrai du faux dans les sciences appartient au sensible, et ne peut appartenir dans un état déterminé du développement de la pensée scientifique à aucun autre ordre qu'à l'ordre du sensible.
Le point de départ et le point d'arrivée de la science ne peuvent pas être hétérogènes. Dans cette perspective, l'ordre métaphysique est distinct de l'ordre sensible, car la métaphysique étudie l'être en tant qu'être, l'affirmation en tant qu'affirmation.
Elle repose donc sur des principes d'évidence intelligible, des principes de raison suffisante, de causalité, de finalité, etc...
Selon les bases de cette structure, c'est à la philosophie et non pas à la science qu'appartient la connaissance des lois universellement valables, pour tout être, du fondement de la pensée et de l'action. En d'autres termes, il appartient à la philosophie de se prononcer en dernière instance sur l'interprétation scientifique du réel.
Il n'est pas douteux que dans le monde moderne le domaine de l'intelligible sur lequel a régné de façon incontestée la métaphysique jusqu'à une époque récente a été envahi peu à peu par la mathématique.
Ce sont maintenant des mathématiciens et non des métaphysiciens qui étudient la causalité, le déterminisme, l'objectivité."
Evolution des sciences et immuabilité initiatique

Pourquoi je n'utilise pas directement les algorithmes bien qu'ils soient beaucoup plus simples à manier?
Car leur utilisation n'est pas encore entrée dans les moeurs et de plus certains voudront les définir à l'aide du système actuel, ce qui n'est pas possible car il y a la notion de présent ou la notion de 0 qui rendrait la chose difficile.

Concept de chose et de phénomène.
De l'oeuvre de P. Janet : " Quant à la science, ou aux sciences de ce qui ne vit pas la division est plus délicate.
Nous dirons d'abord que dans la nature on peut distinguer deux points de vue : ou les choses elles-mêmes, ou les phénomènes. Ainsi une pierre est une chose, un métal est une chose ; l'eau l'air sont des choses, mais le son, la lumière, la chaleur ne sont que des phénomènes. Pour qu'il y aie son, lumière, chaleur, il faut qu'il y ait des choses sonores, lumineuses, échauffées. Ainsi les phénomènes ne sont pas par eux-mêmes et supposent des choses. Cependant ils peuvent être observés et étudiés indépendamment des choses. "

Donc nous avons les choses ou matière, et les phénomènes. La principale différence entre les deux est que l'un persiste et que l'autre est une image qui apparait ou disparait. Si je continue le raisonnement, je peux dire que le temps est un phénomène, et même qu'il va nous apparaitre ou disparaitre en fonction des choses sur lesquelles il va porter son image.

De l'expérience je pense que nous pouvons identifier une loi identique entre les évolutions des phénomènes physiques et l'expérience humaine.
En exemple : Les amphithéâtres de l'université où je travaille sont chauffés par des jets d'air chaud. Chaque fois que les automatismes non apparents donnent plus ou moins de chaleur au système, il va y avoir une variation, de type exponentiel, de la température de l'air soufflé. Par analogie, chaque nouvelle expérience que va faire un être humain va être de type exponentiel. Plus l'homme aura d'expérience plus il aura eu de temps de vie. Car le temps aura été beaucoup plus long pour lui avec des valeurs élevées en sentiment.
En d'autres mots, il y a deux choses à en déduire ; la première est que chaque recommencement se fait par une accélération de départ qui amplifie l'instant d'une manière exponentielle. Soit la valeur d'une seconde à dix secondes est différente d'une seconde à cent secondes. Pour les phénomènes physiques comme pour l'être humain. La deuxième est que ce n'est pas parce que les étudiants ne voient pas l'automatisme que celui-ci n'existe pas.

De plus, il apparait un paradoxe sur le temps.
Si j'ai beaucoup d'expériences, je vais avoir beaucoup d'informations à traiter en peu de temps. Ce qui crée un temps riche d'une valeur supérieure à un temps de repos ( voir plus haut sur la page ). Ce temps riche sera trop court pour analyser toutes les informations, et donc donnera en psychologie l'inpression d'être un temps court et donc de manquer de temps.
Donc plus le temps a de la valeur, plus il nous manque. En d'autres mots des expériences différentes à répétitions produisent une grande richesse en temps, mais nous laissent un sentiment d'avoir manqué de temps, alors que nous avons profité pleinement du temps.
Auteur : ANDRE pierre jocelyn



dmoz.org